L’interminable confinement bolivien

Confinement jusqu’au 30 juillet, avec quarantaine rigide décrétée jusqu’au 10 juillet. Voilà plus de trois mois que nous sommes confinés en Bolivie, dans le petit village de Combuyo, dans la ferme agroforestière appelée Mollesnejta de Noemi. Quelle est la situation sanitaire en Bolivie ? Comment est gérée le confinement ? Où en est le projet des Barbijos ? Comment passons nous nos journées ?

Découvrez nos quelques rencontres, malgré le confinement. Nos deux semaines de liberté avec Fendi, avec panne. Des sons, de la musique, des recettes de cuisine boliviennes et une revue de presse.

Lire la suite

La Bolivie, un tableau vivant

Nous quittons Salta le 10 mars 2020. Notre prochaine grande destination la Bolivie, avec un passage de deux jours au Chili, à San Pedro d’Atacama. Nous avons atteint nos 50 000 km avec Fendi, notre 4X4 Defender.
En route, nous trouvons un campement près du Lagos Dique Los Alisos, à côté de San Salvador de Jujuy. Petit déjeuner avec vue sur le lac et les Andes. Un sommet enneigé se dévoile au bout de quelques minutes. 

Lire la suite

La longue route vers Ushuaia

Notre deuxième arrivée en Argentine, cette fois-ci avec Fendi.

La frontière de l’Uruguay à l’Argentine est passée en 20 minutes. Le poste de contrôle à la frontière est pratiquement désert. Rapide et efficace. Pas de tampon de sortie de l’Uruguay, seul un tampon à la douane argentine est apposé sur le passeport.

Pas besoin de CPD*, une feuille remise à la douane de Montevideo suffit.

Nous lâchons nos derniers pesos uruguayens pour payer la traversée du pont, au dessus du Rio Uruguay (350 pesos). Un peu plus loin une station d’essence est trouvée pour faire le plein d’essence, moins cher ici qu’en Uruguay. Puis le remplissage des réservoirs d’eau, gratuit à la station d’essence.

Lire la suite

La petite ferme dans la prairie, en Uruguay.

Nous sommes arrivés par le bus de 15h. Il aura fallu deux heures trente de route pour nous rendre à Cardona, petite ville au nord de Colonia, en Uruguay. La station terminus de l’agence Nossar était déserte. L’après midi restait chaude et ensoleillée, malgré l’heure avancée. Nous nous installons sur le banc à l’extérieur. Personne.
Une quinzaine de minutes se passent. Puis un pick-up Chevrolet blanc arrive à toute blinde. Une jeune femme, la cinquantaine à peine, plutôt grande et jolie, cheveux mi-longs d’un gris blond, descend la vitre, rabaisse ses lunettes et nous sourit.

Lire la suite